28 juin 2012

Enquête sur la disparition d'Émilie Brunet

roman de Antoine Bello (2010)

Assez déçu. L'auteur est visiblement plus préoccupé à faire étalage de son talent que d'offrir une histoire intéressante à son lecteur (cette volonté de vouloir écrire le roman définitif du genre est attendrissante pour un auteur débutant, mais là ça frise la faute de goût, on dirait du Eco). Et puis on voit un peu trop vite où l'auteur veut en venir...


21 juin 2012

新史太閤記 (Shinshi taikoki) — Hideyoshi, Seigneur Singe

roman de Ryôtarô Shiba (1966)

Ce roman historique retrace la vie de Hideyoshi Toyotomi, un des trois "Grands Pacificateurs" du Japon avec Oda Nobunaga et Ieyasu Tokugawa. Foisonnant, passionnant, une plongée dans le Japon du XVIe siècle et ses innombrables batailles de samouraïs.

concert de l'Orchestre de Paris à la pyramide du Louvre

concert gratuit pour la fête de la musique, avec un programme très hispanisant:

Maurice Ravel - Alborada del Gracioso, pour orchestre

Joaquin Rodrigo - Concierto de Aranjuez (version harpe)

Manuel de Falla - Le Tricorne, suite n° 2

Manuel de Falla - L'Amour sorcier, suite d'orchestre, extrait : Danse rituelle du feu

Kristjan Järvi Direction / Xavier de Maistre Harpe

16 juin 2012

Prometheus

film de Ridley Scott (2012)

Immense déception. Le scénario ne tient tellement pas la route que le film perd tout intérêt.


09 juin 2012

Cosmopolis

film de David Cronenberg (2012)

Proche de Drive par certains aspects, la touche Cronenberg en plus. Un film qui reste en tête longtemps après le générique de fin.

04 juin 2012

Retour parmi les hommes

roman de Philippe Besson (2011)

Bof bof, loin d'être aussi bon que "en l'absence des hommes" (le premier roman de Philippe Besson, écrit il y a une dizaine d'années). Cette suite poussive m'a ennuyé la plupart du temps, et se rattrape de justesse sur la fin avec la rencontre avec Raymond (Radiguet). Mais il faut vraiment que Besson change de registre, là il radote.

01 juin 2012

Indignation

roman de Philip Roth (2008)

Court roman (250 pages à tout casser), sec et percutant comme la plupart des autres romans de Philip Roth, qui raconte la vie d'un étudiant américain de 19 ans, dans l'Amérique étouffante de 1951 obnubilée par la lutte contre le communisme et toute forme de déviance.