Vue dans le cadre de Paris Quartier d'Été 2011, cette chorégraphie contemporaine pour un groupe de 10 danseurs, sur une musique jazz un peu absconse composée par Emanuel Gat lui-même, est assez jolie à voir mais pas très lisible. D'ailleurs d'après le programme, "la pièce Brillant Corners ne cherche pas à démontrer ou à établir quelque chose, pas plus qu'elle n'est à propos de quelque chose : elle est en elle-même quelque chose.". Et pour ceux qui n'auraient vraiment pas compris le message, le programme est encore plus explicite : "ne cherchez pas à saisir ce qui se passe avec des mots, laissez-vous emporter pour entendre plus, voir plus, sentir plus."
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