Quelque part entre carnet de notes (essentiellement composé de listes), journal intime, et chronique des événements de cour. Un des grands classiques de la littérature japonaise, et un des tout premiers romans de l'Histoire.
Quelque part entre carnet de notes (essentiellement composé de listes), journal intime, et chronique des événements de cour. Un des grands classiques de la littérature japonaise, et un des tout premiers romans de l'Histoire.
Du coup fatalement on a été assez déçus. Parmi les points positifs : la présence de Christopher Lee en personne, qui malgré ses 88 ans et quelques difficultés à se déplacer, a fait le récitant (en français) pendant tout le concert, et bien sûr la musique des films. Le problème c'est que la musique de Howard Shore ne représente qu'environ 30% du concert (et il manquait plein de passages que j'adore : les cavaliers du Rohan, l'air du Gondor, la musique de la chevauchée de Gandalf dans Minas Tirith...), le reste sont des compositions ou des chansons qu'on ne connaît pas, avec une ambiance pub irlandais un peu déplacée lors des chansons dédiées aux Hobbits. Ah et puis quand Christopher Lee raconte l'histoire du Seigneur des Anneaux par-dessus la musique ben... ça gâche un peu la musique.
Un film touchant, rempli de vide, avec un personnage principal absent à lui-même et au monde à qui tout arrive "par accident". Film casse-gueule ou presque rien ne se passe, mais constamment porté par un double regard de cinéma : celui de la petite fille qui du haut de ses 11 ans aime ce père sans trop tenter de le juger, et celui de Sofia Coppola qui adopte le point de vue du "héros" jusqu'au bout du bout de la durée de chaque plan.
Mention spéciale pour la superbe utilisation de "Love like a Sunset" de Phoenix qui m'a transporté à la toute fin du film.
J'ai beaucoup aimé ce film qui prête une grande attention aux détails et s'attache à "restituer" le monde des Chapardeurs de la manière la plus fidèle possible : pour ces "petites personnes", traverser une maison d'humains pour grapiller un morceau de sucre relève de la grande expédition, et la moindre goutte d'eau prend des proportions menaçantes.
Mais au-delà de ce souci du détail poussé à l'extrême et de la qualité parfaite de l'animation, il se dégage de ce film une force poétique que les plus récents films du studio Ghibli avaient perdu. Une vraie réussite donc :-)
On sent bien la patte de Paul Laverty (le scénariste de Ken Loach), pour un résultat pas mal du tout !
Plutôt intéressant avec de vraies trouvailles, mais le style Houellebecq fait penser à une déambulation perpétuelle dans les rayons du Monop' du coin.
J'ai mis du temps à rentrer dans le dispositif, mais une fois dedans j'ai été saisi par l'intelligence de la mise en scène et la force de l'interprétation de Valeria Bruni-Tedeschi.
Fascinant aussi d'observer les nombreuses influences croisées entre Moebius et d'autres artistes majeurs comme Giger, Otomo, et bien sûr Miyazaki (période Nausicaä).
Côté manga j'ai entamé la lecture de Ikigami et de Pluto, deux réussites dans des genres assez différents : anticipation sociale pour l'un, et thriller futuriste inspiré d'une histoire de Tezuka pour l'autre.
L'intégralité du classement :
Contes de l'Alhambra
Les piliers de la terre
Pays natal
NonNonBâ
Harricana
La veuve
Water music
Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage
Black swan
Création
Absolument dé-bor-dée
Les fous de Bassan
La mauvaise vie, suite
La vie en sourdine
The war of art
La mauvaise vie
Nothing like the sun
A whole new mind
Oscar Wilde et le jeu de la mort