Moins personnel et moins douloureux que le premier tome, cette suite de "la mauvaise vie" donne l'impression de rester à la surface des souvenirs de Frédéric Mitterrand. Quelques bons passages où l'auteur chronique le festival de Cannes de 2007 de l'intérieur.
Mais c'est déjà loin tout ça (Cannes 2007... ça fait une éternité !), et est-ce qu'on a vraiment besoin de s'en souvenir finalement ?
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