Une grosse bouffonerie, avec quelques gags marrants malgré tout.
Une grosse bouffonerie, avec quelques gags marrants malgré tout.
Un très bon film d'animation truffé de gags qui font mouche presque à chaque fois.
À la fois plongée fascinante dans l'envers du décor de Facebook et portrait de Mark Zuckerberg en créateur génial et asocial plongé presque malgré lui dans un univers dont il ne possède pas les codes (voir la relation avec Sean Parker joué par un Justin Timberlake hallucinant qui rappelle la relation entre Edward Norton et Brad Pitt dans Fight Club), ce film bénéficie d'une mise en scène efficace de David Fincher, au service du script ultra-resserré d'Aaron Sorkin. Peut-être le "Wall Street" des années 2000, en tout cas le film hollywoodien de référence sur la web economy.
Un peu l'impression que Woody Allen refait toujours le même film, avec de subtiles variations. Du coup c'est sympa, sans plus.
Résumé : Avant la seconde guerre mondiale, en Hongrie, dans la parfumerie Maraczek, le directeur Georg Nowack profite de ses heures de loisirs pour correspondre anonymement avec une "très chère" inconnue dont il est tombé amoureux sans l’avoir jamais rencontrée. Bientôt arrive une nouvelle vendeuse, Amalia Balash. Les deux jeunes gens se détestent immédiatement. Pourtant, ils découvriront bientôt qu’ils s’écrivent depuis plusieurs mois sans même le savoir...
http://www.theatredeparis.com/index.asp?id=26&idf=11
La production est plutôt réussie (beaux costumes notamment), mais j'ai été très déçu par la faiblesse de l'histoire, l'absence quasi totale de commentaire social sur la condition des Noirs dans le Sud américain (bon OK la pièce a été créée en 1927, on est encore loin de l'émancipation, mais quand même...), et la pauvreté musicale du second acte qui n'est guère plus qu'une redite du premier acte ("Old Man River" repris jusqu'à la nausée...).
http://www.chatelet-theatre.com/chatelet1011/showboat,450