20 janvier 2009
Skæbne-Anekdoter — Anecdotes du destin (Le festin de Babette et autres contes)
05 janvier 2009
風林火山 — Le sabre des Takeda
Petit extrait de la 4e de couverture :
Dans le Japon du XVIe siècle, les seigneurs se disputent âprement leurs territoires. De cette période de chaos se détache Yamamoto Kansuke, décrit comme nain, borgne, boiteux, de teint noir et marqué de petite vérole, devenu le stratège génial et secret du seigneur du clan des Takeda. Porteur d'un rêve immense, celui de l'unité du Japon, fidèle à son maître et à sa concubine Yubu, qu'il vénère pour sa beauté et son caractère indomptable, il mourra sans avoir vu se réaliser la vision qui soutient son existence.
Une plongée dépaysante dans le Japon des Seigneurs de la guerre, essentiellement focalisée sur les nombreux combats qui ont opposé Shingen (de son vrai nom Harunobu Takeda) et son second Yamamoto Kansuke à leurs innombrables rivaux, dont le plus farouche et le plus connu est sans doute Kenshin Uesugi. En complément de ce court roman un petit tour sur les articles consacrés à la période Sengoku et aux batailles de Kawanakajima sur Wikipedia ne fera pas de mal ;-)
04 janvier 2009
Top ciné 2008
Two Lovers
The Darjeeling Limited
Tokyo!
Vicky Cristina Barcelona
WALL·E
Kung-Fu Panda
Be Kind, Rewind
There Will Be Blood
Juno
Into the Wild
The Dark Knight
Sex and the City
Sweeney Todd
(pssst: c'est par ici pour le top ciné 2007)
Burn After Reading
Dans la même veine que Fargo, cette comédie parfaitement crétine m'a fait passer un bon moment. Reprenant les codes des films d'espionnage pour mieux les détourner, les frères Coen s'attachent moins au scénario qu'aux personnages, tous plus barrés les uns que les autres.
03 janvier 2009
02 janvier 2009
"The Island" au théâtre du Lucernaire
La scène, dépouillée, convient bien à la petite salle du Lucernaire et retranscrit l'espace carcéral dans lequel évoluent les deux acteurs principaux. Quelques trouvailles de mise en scène sont particulièrement intéressantes, comme la première partie de la pièce jouée entièrement en pantomime, ou encore l'intervention de musiciens Africains aux moments clefs de la pièce. Au final j'ai été touché par l'interprétation des acteurs et surtout par la portée universelle du texte.