Quel choc ! Écouter la 8e symphonie de Chostakovitch c'était déjà une grande première, mais en plus dirigée par un dieu vivant, Mstislav Rostropovitch lui même, c'est le comble du bonheur. Frissons partout, énorme émotion.
Un tout petit peu moins accroché sur la 10e symphonie (j'avais la tête ailleurs... trop de boulot), mais pour me rattraper je mets ici un extrait du passage le plus marquant de cette symphonie (honteusement piqué sur Finis Africae).